Update lecture de Février : un mois bien rempli !
Bonjour bonjour !
Je vous retrouve, une fois n’est
pas coutume, pour un update lecture. J’ai beaucoup lu ce mois-ci (et même, le mois n'est pas fini !), pas moins de 9 livres, et je me suis dit que le plus
simple pour moi serait de vous en parler dans un seul article. Ces temps-ci je
lis beaucoup, et prends moins de temps pour le blog. Et en plus de lire
beaucoup, je ne fais que de bonnes
lectures ! Il semblerait que j’aie la chance livresque en 2017 ^^.
En ce mois de Février, j’ai donc
lu plusieurs livres, dont cinq appartenant à deux « séries ».
Pourquoi « séries » entre guillemets ? Parce que je ne sais pas
vraiment si on peut faire figurer des polars d’un même auteur dans la catégorie
série. Bref, je vais vous expliquer tout ça !
Ce mois-ci a commencé avec une LC
avec Emma, dont j’ai fait une chronique. Le roman d’Irène Frain nous a beaucoup
plus ; moins pour ma part que Beauvoir in Love, mais l’histoire d’amour de
Marie Curie était elle aussi très bien racontée.
J’ai ensuite enchaînée sur un
début de saga dont j’entendais parler depuis très longtemps : La
Quête d’Ewilan de Pierre Botero. Je crois que la première à m’avoir mis
la puce à l’oreille n’est autre que ma chère Margaud. J’ai commencé le premier
tome, et ai tout de suite été plongée dans l’univers de l’auteur. Camille est
une jeune fille très intelligente, qui ne se sent pas à sa place dans le monde
dans lequel elle évolue. Or à l’âge de 13 ans, elle va découvrir qu’elle n’est
pas comme les autres : grâce à un pas
sur le côté qu’elle est l’une des seules à pouvoir faire, elle se retrouve
dans un univers parallèle, Gwendalavir. Ce monde magique est aussi fascinant
que dangereux. Accompagnée de son ami de toujours, Salim, la jeune fille
fait face à aventures plus dangereuses et étranges les unes que les autres. Et
surtout, elle découvre son don : l’art du dessin, autrement dit le pouvoir
de faire apparaître des objets rien qu’en y pensant.
Dans le premier tome, la moitié
du roman se passe dans notre monde, et l’autre en Gwendalavir. C’est là que
Camille, alias Ewilan, va découvrir qui étaient ses vrais parents, et quelle
destinée ils lui ont laissée. Elle fait également la connaissance d’Edwin et
Bjorn, des soldats hors du commun qui l’aideront dans son combat contre les
Ts’liches. Dans le tome 2, elle chemine avec eux dans les contrées de
Gwendalavir.
Je ne saurais vous expliquer la
teneur de la quête de Camille, je ne comprends jamais vraiment tout à ce genre
d’histoire. Quoi qu’il en soit, j’ai adoré ces deux premiers tomes. Dans le premier
j’ai aimé l’alternance entre les deux mondes, et dans le second, l’ambiance
communauté à la Seigneur des Anneaux. Les personnages sont également très
attachants, surtout Ewilan et Salim, dont la destinée est inattendue. Autant
vous dire que j’ai hâte de lire le tome 3, et que ça ne saurait tarder. En plus
les romans font moins de 300 pages, ce qui permet une lecture rapide. Ajoutez
enfin à cela un style très fluide, assez peu enfantin finalement, et je frôle le coup
de cœur !
J’ai eu un véritable coup de cœur pour ce
personnage, que j’ai découvert avec La
Chambre des Morts. Cette jeune officier de police, devenue lieutenant suite
à la résolution d’une affaire particulièrement glauque (la chambre des Morts
justement) m’a beaucoup intriguée. Maman de deux jumelles, elle concilie non
sans mal sa vie trépidante d’enquêtrice, sa vie de maman, et la gestion de ses
angoisses profondes. Cette jeune femme énigmatique renferme en effet un secret,
qui nous est dévoilé peu à peu dans La
Chambre des Morts puis dans La
Mémoire Fantôme, que je me suis empressée de lire pour en savoir plus sur
elle. Je ne suis pas une grande fan de
thrillers, mais là, avec l’enquête parallèle que l’auteur nous permet en
quelque sorte de mener sur son personnage, j’ai été captivée. Et puis il ne
faut pas nier que Franck Thilliez a une plume assez addictive. J’ai lu La Chambre des Morts relativement vite,
mais j’ai
dévoré La Mémoire Fantôme. Ce
tome est moins glauque, et en plus de dévoiler beaucoup de choses sur
Hennebelle, le roman est centré sur une jeune femme amnésique particulièrement
fascinante elle aussi. Forte de ces deux bonnes expériences de lecture –même si
je dois avouer que La Chambre des Morts était quand même assez peu ragoûtant… -
j’ai enchaîné sur le roman suivant dans lequel l’auteur met en scène la jeune
lieutenant : Le Syndrôme [E]. Et
dans ce roman, attention ! Hennebelle rencontre le premier personnage de
Franck Thilliez : le fameux Franck Sharko ! Héros des deux premiers romans
de l’auteur (que je lirai sûrement bientôt !) ce personnage aux
consonances sans équivoque (Franck et Shark… quand même !) est lui aussi
carrément fascinant voire flippant. Il est devenu Skyzophrène, entend des voix,
et végète dans une profonde tristesse. J’ai d’ailleurs hâte de pouvoir lire Train d’enfer pour Ange Rouge et Deuils de Miel pour comprendre ce qui a
pu lui arriver, même si on en a une bonne idée dans ce roman. Il est lui
aussi fasciné par le mal, les fous, et là ils sont tombés sur un bon :
l’association d’un cinéaste pervers et d’un médecin dingue. Tout commence avec
un film qui rend aveugle ; rien que ça, ça donne le ton. Je ne saurais
vous expliquer ce qu’il se passe tant l’enquête est complexe ; je ne sais
même pas comment je m’y retrouve. Mais en tout cas, tout ce qu’on découvre sur
Sharko est fascinant. Hennebelle est plus discrète, mais la rencontre entre les
deux personnages est chouette. J’ai adoré ce roman, et je commencerai bientôt
la suite, à savoir Gataca.
Je ne pensais pas me prendre
autant de passion pour des personnages. Mais finalement, si j’y réfléchis,
j’avais adoré la série Dexter ; or ces personnages là sont tourmentés, un
peu comme lui. Même si ce ne sont pas des serials killers. Bref, je dois avoir
un truc avec les tarés, mais en tout cas je prends un grand plaisir à lire ces
romans. Je peux même parler de coup de cœur tellement
j’adore les deux personnages. Je n’avais pas ressenti ça depuis très longtemps
d’ailleurs, pas depuis Dexter je crois. Donc je suis ravie, d’autant qu’il m’en
reste encore un certain nombre à lire J.
BILAN
Si on compte bien, j’en suis à 6 romans. Il en reste donc 3. Le premier est Le silence de Mélodie, dont je vous ferez une chronique sous peu. Le suivant est un service presse dont je vous parlerai début mars, lors de sa sortie. Merci encore à Ludo ! Grâce à lui, j’ai reçu mes premières épreuves non corrigées et surtout j’ai passé un super moment de lecture ! D’ailleurs c’est ce livre qui m’a donné envie d’ouvrir La Chambre des Morts, que j’avais dans ma PAL depuis une éternité. Et quelle découverte !
Si on compte bien, j’en suis à 6 romans. Il en reste donc 3. Le premier est Le silence de Mélodie, dont je vous ferez une chronique sous peu. Le suivant est un service presse dont je vous parlerai début mars, lors de sa sortie. Merci encore à Ludo ! Grâce à lui, j’ai reçu mes premières épreuves non corrigées et surtout j’ai passé un super moment de lecture ! D’ailleurs c’est ce livre qui m’a donné envie d’ouvrir La Chambre des Morts, que j’avais dans ma PAL depuis une éternité. Et quelle découverte !
Le dernier roman dont je vais
vous parler, avec lequel j’ai fini le mois, est Théa pour l’éternité. J'ai lu ce roman rapidement, et en diagonale, pour tout vous avouer. Contente de la lecture de #Bleue de la même auteure, j'étais certaine d'aimer ce roman. Et finalement, ce ne fut pas l'engouement espéré. J'ai eu du mal avec le style, et le début est très mou et bourré de clichés. En revanche, le thème traité à partir du premier quart du roman est très intéressant : la quête de l'immortalité. En effet; alors qu'elle vient d'avoir 16 ans, on propose à Théa de devenir le cobaye d'une expérience inédite : se faire injecter des nano-technologies empêchant le vieillissement ! Une belle idée, plutôt bien traité (ça m'a rappelée la lecture de Power Club), mais les à-côté, qui selon moi sont des artifices pour faire plus "jeunesse" sont assez bâclés, comme la relation amoureuse entre Théa et Théo, son ami d'enfance, ou encore ses relations avec les garçons. Mais tout ce qui concerne ses parents est plutôt convaincant. Une impression mitigée donc, mais une lecture que je conseille puisqu'elle fait réfléchir.